Le film est un portrait‑en‑cinéma où l'on découvre Jane Birkin sous toutes ses formes, dans tous ses états et en plusieurs saisons, elle-même en sa diversité et aussi d'autres Jane… d'Arc, Calamity Jane, et la Jane de Tarzan et la Jane de Gainsbourg. C'est la femme‑au‑miroir‑mouvant. Elle change de tête et de rôle pour s'amuser avec Agnès qui tourne autour d'elle, la déguisant, lui proposant des fictions ou des hommages comme celui à Marilyn… Celui de Laurel maladroit de « Laurel et Hardy ». Le film est un portrait semé de mini-fictions, le film est une fiction semée de mini-confidences de Jane B., au mieux de sa forme dans un libre dialogue avec celle qui la filme, Agnès V.