Pour la première fois le réalisateur pose sa caméra , son «subjectif», en extérieur. Il ne s'agit plus de percer l'obscurité pour y faire naître, mettre en scènes des figures anthropomorphiques aux rituels plus ou moins mystérieux, mais de partir de la lumière du monde, en l'occurrence celle d'une plage au bas d'une falaise et d'y capter les évolutions de vacanciers anonymes.